Parlons de mon riz-cuiseur et de concours (encore ?) !

Bon, seulement cinq personnes intéressées par de petits concours-éclairs sur mon blog en Rickshaw ? Si personne d’autre ne se manifeste, ce ne sera pas très drôle (le principe ? Une énigme à résoudre le plus vite possible pour gagner un bô cadeau indien tout mignon tout plein…). Allez, allez, on se motive ! Cela pourrait être demain ou après-demain ou après après-demain : un petit commentaire si cela t’intéresse…

De dépit, je vais donc te parler de mon riz-cuiseur. Dont ce n’est pas le vrai nom, mais « auto-cuiseur à riz » ou « cuiseur à riz » ne m’emballent pas du tout.
Sache donc que si j’aime vadrouiller en Asie, si j’habite actuellement en Inde, et bien… je ne mange pas de riz. Enfin, très très très rarement : si j’en ai l’occasion et les moyens, je préfère de loin goûter plein de plats délicieux plutôt que de me rabattre sur le riz, sachant que je le vois comme l’aliment bourratif par excellence (comme le pain et les pommes de terre en Occident). A part quelques rares plats (les biryani/pulao et riz sautés sont plus des assemblages de restes, parfois très bons mais souvent peu originaux (je vais me faire taper dessus, je le sens) ou trop gras, et le riz rond au vinaigre japonais vient jouer à nouveau le rôle du pain), le riz ne m’indique pas grand-chose sur la gastronomie et la culture du pays. Sauf qu’on y a besoin d’un aliment bourratif à moindre coût. Néanmoins, ne te méprend pas : je raffole des galettes, pains, brioches et nouilles à base de farine de riz, dans les soupes notamment, parce que là, cela devient inventif.

En revanche Tac aime manger du riz. Le problème est donc d’en cuisiner alors que l’aliment ne me plaît guère et que je trouve cela profondément ennuyeux comparé à des légumes sautés, des curries, des gratins… Que faire donc pour que le riz soit prêt au moment du repas, à température, sans que cela soit un pensum pour moi d’aller le surveiller en cuisine, de le goûter et, enfin, de l’égoutter ?

Tadam !!! Le riz-cuiseur ! On en trouve dans toutes les maisons asiatiques dès que la famille peut se le permSidettre, et vas-y que la machine ronronne. C’est tellement simple que j’en ai des frissons : tu laves la quantité de riz souhaitée, tu la recouvres généreusement d’eau, tu appuies sur le bouton et… voilà. La machine s’arrête toute seule au moment où le riz a absorbé l’eau dont il avait besoin (le reste s’évapore) et conserve le riz chaud pendant quelques heures. Idéal. Oui, je sais, tu arrives à faire pareil avec ton cuivapeur. Mais c’est pas grave…

Si en revanche tu veux t’en acheter un, les supermarchés asiatiques (notamment parisiens) en vendent pour un prix relativement correct.

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3 commentaires

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