Une double volée michelangesque de marches au fond de la place du Campidoglio. Sous les fenêtres du Palazzo Senatorio, au sommet du Capitole. Au sud l’Antique (quand on se souvient où se trouve l’entrée…), au nord le baroque (quand on arrive à le supporter), et partout le scintillement délicat et discret de la Renaissance.
A force de plafonds peints et de panneaux sculptés, de symboles et de renvois, d’idéaux esthétiques et de chefs-d’oeuvres artistiques, on a envie de se laisser aller à la gourmandise des historiens. L’interpréta-nimportequoi.
Et sous les traits du Nil et du Tibre s’amuser à déchiffrer…
– Mon chéri, il y a quoi ce soir à la télé ?
– Je ne sais pas car j’ai bien mieux à te proposer…
…
Et ne me dites pas que le sculpteur n’y avait pas pensé !!!
Non mais.
Wouahahaha,génial!Décidément ces artistes,tous des obsédés...enfin y'a pas que les artistes;)
Ah toi aussi tu entends les oeuvres d'art parler ? Youhou, on est deux 😀 (magnifique, hein, c'est une experte qui parle ;-))